En février 2008, au terme d'un périple d'un mois en Thaïlande, j'ai
rencontré Sofia à Bangkok, et j'ai été "victime d'un coup de foudre".
Deux mois plus tard, j'étais de retour pour 1 mois. Je suis reparti, revenu, puis reparti et revenu, jusqu'à rester 10 mois.
Et quand je suis rentré, toute ma famille m'a trouvé trop amaigri, m'a
envoyé chez notre médecin, qui m'a trouvé trop amaigri, lui aussi...
... Nous avons donc fait une palanquée d'examens aussi divers que
variés, pour arriver à la conclusion que j'étais certes amaigri, mais en
bonne santé.
Et d'autant plus en bonne santé que j'avais sensiblement réduit mes
doses quotidiennes de médicaments (sévère hypertension), et même
supprimé un de ceux-ci, sur avis et sous contrôle médical.
Conclusion : une amélioration sensible de mon état général, sans doute liée à l'alimentation.
OK ! Analysons cette alimentation, au quotidien :
ce qui remplace notre baguette de pain : le riz, et les nouilles du même nom (il faut bien alterner... ;o) ;
les légumes : il est assez rare qu'un plat ne soit pas accompagné de
légumes (y compris les champignons), peu cuits, croquants et ayant
conservé toutes leurs propriétés, gustatives et nutritionnelles, et j'en
mange beaucoup ;
les aromates : tout d'abord, l'ail (dont je raffole), ensuite, basilic,
coriandre, etc. et je me dispense du piment ; les condiments : sauce de
soja, sauce d'huitres et le très usité "bouillon cube" pour les soupes
et légumes, qui permettent de ne pas saler ;
la viande : le porc que j'évite, puis le poulet et le boeuf, en
relativement petite quantité dans les plats, lorsqu'il y en a, ce qui me
convient très bien ;
les fruits de mer (poissons, crustacés et mollusques) : une grande
variété, ils sont accommodés d'une foultitude de manières, c'est un
régal que je renouvelle le plus souvent possible ;
les oeufs : durs, aromatisés ou non, cassés dans diverses préparations, en omelette, etc.
et les fruits, bien entendu, dont je me fais une "ventrée" à chaque repas (3 fois par jour) !
Cette liste m'a fait penser à un régime quasiment végétarien, moi qui suis omnivore à tendance carnivore...
Je me suis donc intéressé au végétarisme, et j'en ai déduit que je
devenais plutôt végétarien, puisqu'un grand nombre de mes repas ne
comportent pas de viande.
Et puis, en poursuivant des recherches sur Internet, je suis tombé sur le flexitarisme !
Késaco ? C'est simple, c'est du végétarisme à 80% et du "laisser aller" à 20%...
Ainsi, le flexitarien profite des bienfaits du végétarisme sur sa santé,
et s'éclate de temps en temps en satisfaisant ses petites envies,
souvent liées à de vieilles habitudes omnivores (remarque : pour les
flexitariennes, c'est tout pareil ;o)
J'en ai donc déduit que j'étais devenu flexitarien, sans le savoir... Et je le dis bien haut : Vive le flexitarisme !
Avec ce qui précède, j'espère vous avoir "mis l'eau à la bouche" ;
n'hésitez pas à vous lancer, ce n'est ni difficile, ni frustrant, foi
d'ancien (très) grand carnivore !
Si vous adoptez le flexitarisme, au moins dans un premier temps, il
serait bien capable de vous aider à préserver votre santé, ou de
l'améliorer, ainsi que celle de votre famille.
lire la suite / http://www.sport-nutrition2015.blogspot.com
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